Préparer le concours et rougir de plaisir !

Vous vous êtes réveillé ce matin déjà fatigué. Vous vous êtes tout de même levé, pris votre petit déjeuner, votre douche, occupé des enfants, fait quelque menu ménage avant de partir pour amener les enfants à l'école et aller travailler...

Les chanceux comme moi ont la possibilité de préparer le concours dans la journée, pendant que les enfants sont à l'école : ils sont donc au calme mais pas toujours motivés car l'impression d'avoir le temps les taraude.
D'autres, après une journée de travail, doivent attendre que les enfants soient couchés pour ouvrir leurs livres et s'y mettre.
D'autres encore, ont des enfants en bas âge ce qui leur demande beaucoup d'investissement personnel et offre très peu de temps pour les révisions (une sieste est si courte...).

Vous l'aurez compris : la motivation pour se mettre à travailler ses maths et son français n'est pas toujours là. Sans compter que, même quand on a fait un planning "rassurant" quant à la somme de choses à réviser voire à apprendre, ladite somme devient quelque chose de parfois monstrueux tant la quantité de connaissances à assimiler paraît incroyable - je ne sais pas vous, mais moi, plus j'apprends, plus je trouve qu'il y en a à apprendre... La procrastination vous guette !

Cette grosse bête poilue - oui, c'est une parente du poil dans la main... - qu'est la procrastination est domptable. Sans fouet, ni culpabilisation ! Juste avec un petit truc amusant : les tomates ! Hé oui ! Vous avez bien lu ! Les tomatoes précisément. Vous savez, le minuteur de votre grand-mère, celui qui est caché dans un placard ou que vos enfants ont investi pour se laver les dents ? Vous allez vous en servir.

Le principe des tomatoes est très simple : 25 minutes de travail, 5 minutes de pause et au bout de 4 tomatoes, un quart d'heure de pause.
Pourquoi les tomatoes ?
1. Parce que c'est plus facile de se motiver sur du court terme
2. Parce que, du coup, vous ne verrez pas passer les deux heures de travail
3. Parce que ça fait du bien de reposer son cerveau au bout de 25 minutes (après 5 minutes de pause il peut à nouveau assimiler plein de choses)
4. Parce que 25 minutes c'est frustrant, mais que la frustration engendre du désir, donc de la motivation.
5. Parce que ça permet aussi de scinder la monstrueuse quantité de travail en toutes petites bouchées bien plus facile à avaler et bien plus digestes.

Il y a une application que je trouve sympathique : c'est par ici

Allez ! Concours de tomates !